Samedi 23 août 6 23 /08 /Août 06:10

Petit retour en arrière avec un échantillon de photos prises durant ces trois dernières années.

Pas de doute, ces photos confirment mon état de salope soumise mais jusqu'à présent je n'avais jamais osé les publier et donc m'exhiber ainsi au grand public.

Je franchis donc ce jour une nouvelle étape dans ma soumission, pas la plus désagréable certes, mais l'idée même très improbable d'être reconnue m'humilie grandement.


Cette première photo est celle que j'utilise en général pour passer une annonce, peut-être parce que je me trouve belle dessus?

Belle mais aussi salope comme à chaque fois...offerte et prête à être utilisée.

En position bien cambrée


Une bonne salope quoi...


Parmi les pratiques dont je rafolle il y a bien entendu la dilatation anale. J'aime l'idée de m'ouvrir sur demande, comme ça l'a été pour ces photos:

Avant :

Puis pendant...


Mieux encore le fist vécu pour la dernière fois il y a quelques mois. Cette femme s'était vraiment servie de sa main jusqu'au poignet comme un simple gode qu'elle faisait aller et venir en moi à de nombreuses reprises.



J'apprécie aussi avoir cette sensation de testicules bien allongés, pendants, doù un travail régulier nécessaire pour arriver à un tel résultat. j'avais à cette période là les jambes entièrement lisse, un bonheur!


Autre forme de travail des testicules, tout aussi efficace.


J'aime également bien entendu les jeux d'exhibition, je n'aurais pas créé ce blog sinon!

En forêt j'adore...surement le fait d'imaginer que je pourrais être surprise, mais aussi la sensation de me comporter comme une vraie chienne.

Les possibilités de jeux sont énormes à l'extérieur.




Mes Maîtres vont surement penser que le contenu de cet article n'est qu'un désir de ma part de vivre (ou revivre)prochainement ce genre de situation. Tel n'est pas le cas pourtant, je ne relate ici que mon humble expérience la plus récente. Je ne dispose pas en effet de clichés de ce que j'ai pu faire, notamment avec ma première Maîtresse.

Je reste bien entendu ouverte à tous commentaires sur cet article et toutes propositions de nouveaux clichés pourquoi pas, sous réserve, le cas échéant, d'obtenir l'accord préalable de mes Maîtres pour les réaliser puis les diffuser ici.

Par chienne sara
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Mercredi 20 août 3 20 /08 /Août 14:47

Ce n'est pas la première fois qu'une cage de chasteté m'avait été imposée. Dans le passé j'ai dû supporter le port d'une CB 2000 durant plusieurs jours. La frustration est omniprésente, l'inconfort aussi, la douleur vive surtout la nuit pendant les périodes d'érection où le sexe force pour se développer mais se heurte aux parois trop étroites de la cage.

Ce soir là je suis partie de chez mes Maîtres avec une CB 6000, une première pour moi ce modèle. D'un premier abord elle semble plus confortable, mais ce petit plus n'est que tout relatif, cette chasteté imposée reste une véritable épreuve, notamment pour moi qui suis en contact avec le public au boulot.

Au bout de la première journée de port j'ai senti mon sexe assez boursouflé de l'intérieur. A plusieurs reprises j'ai failli craquer et me libérer. Je me suis rassurée en me disant que je devais avoir une fausse impression et que céder si vite ne ferait pas très sérieux.

Le seconde nuit passée encagée m'a fait à nouveau douter, mais j'ai persisté et suis à nouveau aller bosser avec.

A mon retour de cette seconde journée de travail, soit au bout de presque 48h de port, j'ai préféré jouer la carte de la sécurité. Je me suis donc libérée, et je pense qu'il était temps! J'ai ainsi retrouvé mon sexe très boursoufflé, comme si j'avais utilisé une pompe à sexe servant à l'aspirer. Je n'ai pas compris cette réaction, peut-être une allergie au lubrifiant appliqué sur mon sexe avant de cadenasser la cage dessus?

Si certains utilisateurs de la CB 6000 pouvaient apporter leur témoignagne à ce sujet j'en serait ravie. La photo du résultat de mon sexe après libération n'étant pas très esthétique j'ai jugé bon de ne pas la publier ici.

L'objectif du port de cette cage pendant 72h n'a pas été atteint certes mais le bon sens m'a dicté d'en rester là pour cette fois.

En parallèle j'ai dû faire attention à mes bleus résultant de quelques coups reçus de ma dernière scéance. J'avais donné mon accord pour des marques visibles pendant 2 ou 3 jours, sauf que celles présentes sur mes fesses et cuisses sont encore visibles 9 jours après!

J'ai dû inventer de fausses excuses à ma copine lorsqu'elle s'est rendu compte d'un bleu présent sur ma cuisse gauche. Qu'aurait-elle dit si elle avait vu ceux sur l'autre cuisse, ils devaient être six fois plus gros! idem pour ceux sur mes fesses.

Pour information, cette photo a été prise au bout de 48h.


Curieusement, c'est un peu avec fierté que j'ai porté ces marques, surtout celle sur mon bras gauche, juste dessous la manche de ma chemise à manches courtes, visible du grand public. Comment une âme non avertie aurait pu t-elle de toute façon en deviner la provenance?

Même si ces marques restent génantes vis à vis de ma copine, je n'en veux pas à mes Maîtres de me les avoir infliger pour une durée si longue, qui dépasse amplement les 2 ou 3 jours tolérés. Je ne pense pas que les coups ont été appuyés à l'excès, c'est surtout que ma peau marque hyper facilement, une vraie peau de femme!

Je tenais à renouveller ma confiance envers mes Maîtres, et aussi les remercier d'accepter de prendre en charge mon dressage, ceci malgré ma grande indisponibilité.
Par chienne sara
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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 13:20

Le deuxième rencontre que j'attendais tant a eu lieu hier soir. Je m'y suis rendue un peu moins stressée que la première fois, mais toujours avec la même appréhension quand même, surtout que je m'attendais à être punie pour n'avoir pas fait confiance à 100% en mes Maîtres.

J'ai toujours pensé qu'un soumis aussi insignifiant soit-il aux yeux de ses Maîtres n'est pas pour autant idiot, que si son rôle est d'obéir il ne doit pas pour autant s'exposer, ni lui, ni sa vie familiale et/ou professionnelle le cas échéant, à quelconque risque. Bien entendu, l'argument du dominant en règle générale est de dire que c'est à lui de veuiller à la protection du soumis et à tout ce qu'il voudrait protéger, mais encore faut-il pour ça que le soumis accorde lui-même au préalable sa propre confiance au dominant pour que ce dernier puisse alors jouer ce rôle protecteur.
Dans ce monde BDSM où l'on cotoye parfois le meilleur comme le pire il est difficile de faire confiance dès la première rencontre, à moins d'un feeling énorme ou d'une immaturité complète (voire inconscience) du soumis. C'est pour cette raison que je me suis toujours jurée de ne pas bruler d'étapes surtout dans mon cas particulier où ma vie de couple passe avant tout. Donner mon identité réelle et mon adresse sont des choses que je me suis toujours promise de ne pas divulguer; et ces dernières années j'ai préféré stopper toute relation naissante avec des dominants potentiels qui me demandaient ce genre d'information bien trop tôt à mon gout, surtout qu'elles sont sans rapport avec la relation souhaitée de soumission.

Sauf qu'avec mes Maîtres actuels, j'ai cédé pour la première fois. Il ne tenait qu'à moi d'en rester là devant leur insistance; mais mon envie de poursuivre avec eux a été plus forte. Une fois cette information délivrée je me suis sentie comme vidée physiquement et mentalement, dur à expliquer, mais je me suis aussi sentie plus forte, plus déterminée à me livrer.

Cet argumentaire n'a pas convaincu mes Maîtres; il était inconcevable pour eux que je doute un instant de leur sérieux et que je ne puisse pas leur livrer ces informations personnelles.

C'est dans ce contexte un peu tendu que je me suis donc rendue chez mes Maîtres; j'avais été prévenue qu'une punition me serait réservée dès mon arrivée pour une mise point sur mon comportement vis à vis d'eux.

J'ai été charmée de revoir Maîtresse Hakane qui portait une nuisette commandée un peu plus tôt sur le net. J'ai aussi été admirative devant la préparation si minutieuse de la pièce où j'allais devoir m'offrir.

J'ai rapidement dû me mettre nue devant eux. Il n'y paraît peut être rien mais ce déshabillage reste humiliant pour moi. J'espère d'ailleurs que j'éprouverai toujours cette honte même pour un acte pourtant si anodin.

Une fois baillonée et des pinces à seins fixées sur mes tétons, mes quatres membres ont été solidement attachés en croix de manière à ce que je sois maintenue debout, sans possibilité de fuir.



L'incident évoqué ci-avant (l'affront que j'ai eu de ne pas avoir fait confiance) m'a valu une correction dans les règles. Fouets, paddle, cravaches se sont succédés sur ma peau si sensible et qui de surcroît marque très facilement. J'ai pu à nouveau me rendre compte des progrès qui me restent à accomplir dans le domaine de la résitance physique à ce genre de coups.


J'ai tenu comme j'ai pu, endurant cette punition méritée, essayant de satisfaire mes Maitres, mais sans être certaine d'avoir été à la hauteur de ce qu'ils attendaient de moi.

Paradoxalement, mis à part certains coups redoutables, la douleur la plus vive a été pour moi celle générée au moment du retrait des pinces à seins. Ca faisait longtemps que mes tétons n'avaient plus endurés une telle épreuve, trop longtemps malheureusement. Le temps ne fait pas oublier en revanche ce moment si pénible où le sein est libéré d'une pression prolongée. J'ai été contente de revivre ce moment même si pour une reprise je l'ai trouvé particulièrement dur.

D'autres bondages ont succédés à ma première immobilisation, aussi esthétiques et efficaces les uns que les autres.



J'ai remarqué lors de cette soirée que Maître Yvan participait davantage que lors de la première fois. Je me souviens notamment de ce moment où, alors que j'étais allongée à plat ventre sur le sol, il m'assenait des coups de fouets en me demandant de le supplier d'arrêter pour passer à des épreuves plus douces et agréables pour moi. Ses coups furent douloureux et ont marqués encore davantage ma peau déjà meurtrie.


De toute évidence il aurait aimé que je cède mais ce n'était pas dans mes intentions. Peut être une part de fierté de ma part, mon coté rebelle ou un défi je ne sais pas. Toujours est-il que je ne trouvais pas normal que ce soit moi qui décide de la fin de l'épreuve, cela devant revenir au Maître en fonction de la situation, y compris si je m'étais entêtée à ne pas vouloir céder, ce qui a été le cas finalement.

Le moment de l'essayage de ma nouvelle robe de soubrette est ensuite arrivée. Elle était à ma taille et confortait mon statut de soumise offerte. Une perruque m'a aussi été confiée. C'est dans cette tenue que j'ai dû me mettre à la corvée de repassage. J'utilise le mot corvée car ce devait bien être la première fois de ma vie que je me prêtais à cet exercice. Maitresse Hakane a même été obligée de me montrer l'exemple après s'être rendue compte de ma piètre prestation.


Non seulement je n'étais pas douée, ni pour repasser ni pour plier ensuite le linge de Madame, ceci malgré toute ma bonne volonté, mais j'ai aussi passé un dur moment du fait de la chaleur provoquée par la perruque et ma tenue.

Qu'elle a été grande ma joie lorsque Maître Yvan m'a présenté une bouteille d'eau de 1,5 litre mais ma surprise fut aussi grande lorsqu'il me demanda de la boire en entier dans les 10 minutes qui suivèrent. Autant dire que les interrogations se sont succédées quant au pourquoi d'une telle demande. Je ne livrerai pas ici les idées qui me sont venues en tête de peur qu'elles soient interprétées (à tort) par mes Maîtres comme une suggestion de les vivre ultérieurement.
Les premières gorgées ont été bues facilement du fait de ma grande soif à ce moment mais terminer la bouteille a été un peu plus difficile. Tout ceci a eu lieu pendant mon repassage et pendant que mes Maîtres profitaient d'un film SM de grande qualité dont je reconnais avoir profité en douce de quelques brefs passages.

J'ai ensuite à nouveau été immobilisée au sol, totalement offerte.
J'ai reconnu facilement cette fois le froid des glaçons dont le contact avec ma peau m'avait fait pensé à de la cire de bougie la dernière fois. Je m'attendais à une nouvelle scéance de bougie mais elle n'a pas eu lieu.

En revanche j'ai senti quelques piqures dans ma peau, sur une bonne partie de mon corps, sans arriver à reconnaitre l'objet qui en était à l'origine. Là encore mon imagination est allée loin. Peu de temps auparavant j'ai surpris un bref échange de conversation entre mes Maitres qui parlaient de commandes d'aiguilles et de matériel désinfectant. J'ai toujours tendance à imaginer le pire dans ces moments de doute même si il était évident que les piqures ressenties ne pouvaient pas provenir d'une aiguille...


Puis est venu le dernier bondage de la soirée où mon sexe a été exposé. Un moment très ambigu pour moi puisque très rapidement, alors que mon regard était masqué, j'ai senti des mains commencer à me masturber, ou plus précisément à me carresser. Dans un même temps des doigts se sont incérés dans mon anus comme pour commencer à le dilater. Je ne savais pas comment réagir à tout ça. Ma seule préoccupation était de retenir une envie alors très forte d'uriner après tout le liquide avalé quelques temps auparavant. Il m'était alors impossible d'avoir une érection ou même d'offrir mon anus aux dilatations sollicitées sans risque de vider instantanément ma vessie.

Le pire pour moi a été de ne pas savoir, ou deviner, ce que mes Maitres attendaient de moi à ce moment. Lorsque j'ai entendu Madame dire "tant pis pour lui, il restera frustré" et qu'au même moment tout s'est arreté autour de moi, j'ai compris, du moins je pense, qu'ils avaient cherché à me faire jouir dans le but de faciliter la pose d'une cage de chasteté. Quoi qu'il en soit, ça aurait été difficile pour moi de jouir dans ces conditions sans risquer d'uriner auparavant.

J'ai été frustré oui, autant par mon absence de jouissance que de ne pas avoir pu tester convenablement les deux gros plugs fraichement achetés.

La pose de la cage de chasteté s'est faite sans difficulté, il est vrai que mon sexe étant ridiculeusement petit, il n'a pas eu trop de mal à rentrer dans ce genre de cage. Elle m'a été posée pour presque 3 jours.



J'ai ensuite été invitée à rentrer chez moi. J'ai repris la route en pensant pouvoir soulager ma vessie à la maison mais ça n'a pas été le cas. J'ai dû m'arreter en pleine nuit au bord d'une route et uriner derrière la portière de ma voiture. Je suis habituée depuis toujours à uriner en position assise sur la cuvette des wc, mais à l'extérieur j'adopte une attitude semblable aux les hommes pour uriner. Cette fois-là, à cause de la cage de chasteté, j'ai été contrainte de m'accroupir derrière la portière de la voiture, pantalon baissé aux chevilles. J'ai uriné à forts jets, comme une femme, avec la peur permanente d'être surprise dans cette position.

Contrairement à la première rencontre, ma soumission ne s'est pas cette fois terminée en quittant mes Maitres. Elle se prolonge actuellement avec le port très contraignant d'une cage de chasteté...
Par chienne sara
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Samedi 2 août 6 02 /08 /Août 00:38

Je suis rentré chez moi vers 1h10 du matin, épuisé je dois dire. J'aurais du normalement m'allonger aussitôt sur mon lit et m'endormir rapidement. Pourtant il m'a été impossible de trouver le sommeil. Je suis resté comme surexcité, ressassant en permanence le déroulement de cette soirée, les détails vécus, me demandant si j'ai été à la hauteur, anticipant une éventuelle suite à cette première rencontre...

Avec le recul il est clair que j'ai apprécié cette soirée. J'ai été principalement rassuré d'avoir à faire à de véritables dominants soucieux des limites fixées auparavant et toujours attentifs pendant les jeux, ce qui n'empeche pas bien entendu d'etre considéré à leurs yeux comme un moins que rien. C'est là toute la difficulté de faire connaissance de personnes aussi sérieuses que mes Maitres.

Bien entendu il ne m'est pas possible de décrire les jeux qui m'ont plu ou pas, je ne suis pas (plus) là pour demander quoi que ce soit, ma seule motivation est de satisfaire leurs envies quelles qu'elles soient.

S'agissant des marques, qui font parties des contraintes que malheureusement je fais subir à mes Maitres, j'aimerais préciser que je suis disposé à en accepter de "légères", des marques qui pourraient rester visibles une voire deux journées maximum après application, ceci en espérant satisfaire un peu mieux leurs envies éventuelles à ce niveau.
Bien entendu je mesure complètement la teneur de ce que je viens d'écrire et j'en assumerai les conséquences dans ma vie de couple.

Je me suis toujours plus senti soumis cérébral que phyisique. Cependant, je suis apte à progresser dans le domaine de la douleur, sans bruler d'étapes bien entendu, mais de manière certaine selon là encore envies éventuelles de mes Maitres.

Dès le lendemain de la soirée, Maitresse Hakane m'a demandé de commander certains articles sur internet dont une tenue de soubrette et deux plugs aux dimensions que je juge impressionnantes (respectivement 7,5 et 8,5 cm de diamètre).




Jusqu'à présent je n'ai jamais utilisé de godes/plugs d'un diamètre supérieur à environ 6,5 cm de diamètre. Je me rends compte que cette pratique (la dilatation anale) qui était ma favorite, ne va plus me procurer uniquement du plaisir mais va devenir une réelle contrainte avec cette prespective d'etre dilaté de manière vraiment importante.

Hier j'ai été baptisé Chienne Sara, un pseudo qui honore ma condition de soumis total.

A compter de maintenant, et à moins que mes Maitres ne s'y opposent, j'utiliserai en permanence le féminin, tant oralement que par écrit, en parlant de moi.

Aujourd'hui je peux affirmer être ravie d'appartenir à Maitresse Hakane et Maitre Yvan. Je n'ai découvert qu'un tout petit aperçu de ce qui m'est réservée à terme mais ma motivation reste entière et c'est avec joie que je m'offre à eux pour satisfaire leurs envies.

A toutes fins utiles je laisse ci-après le mail de Maitresse Hakane :
maitresse.hakane@live.fr

Encore merci Maitresse, Maitre, d'avoir accepté de prendre en charge mon dressage.

Votre chienne, Sara.
Par chienne sara
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Vendredi 1 août 5 01 /08 /Août 22:36

L'annonce a laquelle j'ai répondu parlait d'un couple recherchant une femme soumise. C'est donc sans conviction, comme souvent, que j'y ai répondu, en mettant l'accent sur le fait que je pourrais être travesti.

Contre toute attente j'ai eu rapidement un accord tacite de leur part même si le fait que je sois en couple et que surtout ma compagne ne soit pas au courant de tout ceci posait un problème de principe bien naturel, d'autant plus que ça sous-entendait une disponibilité limitée de ma part et des pratiques bridées pour préserver une discrétion totale.

Ma situation conjugale a souvent été à l'origine d'un refus de poursuivre pour ces motifs, sauf cette fois-ci. Bien entendu, rien n'est jamais gagné d'avance, mais j'avais la possibilité de montrer toute ma motivation en m'offrant à eux.

J'ai rapidement été mis en confiance, un premier rdv a été fixé quelques jours plus tard, ce fut le point de départ d'un stress qui n'a fait que s'accroître au fur et à mesure que l'échéance approchait, le même que lors de ma toute première fois en réel.

Quelques heures avant de partir je me suis employé à me préparer pour l'occasion, ce qui sous entendait un rasage total de mon corps hormis les jambes (à mon grand regret). Je me suis ensuite fait un lavement avec les moyens du bord et me suis appliqué du vernis aux ongles des pieds en espérant que ça plaise. J'ai enfilé un string féminin sous mon pantalon puis j'ai pris la route, rassuré d'etre dans les délais mais toujours aussi stressé voire aussi relativement fatigué avant meme de commencer du fait d'une journée de travail juste avant, du cumul de ce maudit stress et aussi de l'heure avancée moi qui suis habitué à me coucher comme les poules.

Le plan fourni était très précis, j'ai pu facilement trouver le lieu de rencontre en arrivant même un peu en avance.

L'accueil a été aussi chaleureux que lors de nos contacts sur msn, il me restait alors à me décider, soit partir (je le pouvais encore) soit rester sans plus pouvoir reculer ensuite...Ma décision était bien entendu prise d'avance; je m'offrais à eux pour la première fois, il était environ 20h et j'étais à leur disposition potentiellement pour seulement quelques minutes ou jusqu'au lendemain matin selon leur souhait.

Dès mon arrivée j'ai été comme envouté par Maitresse Hakane, son physique bien entendu mais aussi et surtout son regard et l'expression de son visage entier. Maitre Yvan s'était présenté davantage comme organisateur de cette soirée, assurant la logistique, la préparation du matériel, ce qui n'excluait pas une participation active de sa part.

Les premières règles ont été fixées : interdiction formelle de croiser leur regard, en toute circonstance, donc maintenir les yeux baissés vers le sol, interdiction de m'asseoir ailleurs que par terre, interdiction de prendre la parole sans y avoir été invité auparavant et dans ce cas répondre en terminant par Maitre ou Maitresse.

Rapidement j'ai dû me changer devant eux. J'ai ressenti la même honte que pour ma première fois, sauf que cette fois au lieu d'une paire d'yeux il y en avait le double fixé sur moi pour me juger. J'ai enfilé une robe achetée peu de temps avant pour cette occasion ainsi qu'une paire de bas résilles beiges auto-fixants pretés par mes Maitres.

Voici donc la tenue dans laquelle j'étais :

 


Puis est venu le port d'un premier accessoire de contrainte, un humbler dont j'avais à maintes reprises vu des photos sur internet sans en connaitre le nom. J'ai été bien mis en garde, je n'avais pas intéret à bouger une fois cet accessoire posé si je ne voulais pas qu'il me rappelle à l'ordre. Son port s'est avéré moins contraignant que prévu du fait de mes testicules déjà assez allongées; une fois à 4 pattes l'appareil devrait reposer sur mes cuisses mais là il avait l'air de flotter un peu, Maitre Yvan ayant meme suggéré de l'installer dans l'autre sens, ce qui aurait eu un effet redouble au cas où ça aurait été possible. L'idée n'a finalement pas été retenue.


Toutefois j'ai dû m'allonger sur le ventre pour un étirement maximum et une exposition indécente d'une partie si sensible de mon corps. De légers mais efficaces coups ont été appliqués dessus, pour me rappeler à l'ordre notamment lorsque je n'arrivais pas à conserver dans mon anus un petit plug. Je m'appliquais pourtant, pas assez visiblement, l'excuse d'un plug bien trop petit pour mon anus n'étant pas valable.



Pour la suite j'ai été traité comme une chienne, avec collier, trainé en laisse à 4 pattes, contraint de m'allonger sur un tapis reservé en temps normal à un vrai animal de compagnie. j'ai dû boire dans une gamelle et prendre mon repas de la meme manière, sans couverts bien entendu.

Auparavant j'ai été utilisé comme bonniche en servant le repas de mes Maitres, exercice difficile pour moi qui n'en ai pas du tout l'habitude. J'ai naturellement dû faire la vaisselle juste après.

En cette saison fraiche (hiver austral) j'avais peur de prendre froid moi qui suis frilleux de nature. Malgré avoir passé de longues heures quasiment nu je n'ai pourtant pas éprouvé cette sensation, comme réchauffé intérieurement par le contexte, par ce que j'étais en train de vivre.

Je fus ensuite solidement attaché ventre plaqué sur une table, pieds fixés aux pieds de cette table. Maitresse Hakane a alors entrepris de me dilater l'anus en choisissant des plugs de taille croissante, seul le dernier, le plus gros en sa possession (6 cm de diamètre) a un peu résisté avant de me pénétrer complètement.

J'avais les yeux bandés, la musique assez forte couvrait une bonne partie des bruits environnants alors que j'essayais de deviner ce qu'il se passait autour de moi. J'ai fini par sursauter en sentant de la cire de bougie couler sur mon dos, puis rapidement j'ai modifié mon jugement, ce n'était pas le chaud qui me faisait réagir comme ça mais le froid...Maitresse Hakane jouait avec des glaçons en les frottant contre ma peau. Le froid a vite laissé place au chaud et à nouveau je me suis retrouvé face à cette épreuve des bougies que je redoute tant alors que je suis le premier à reconnaitre que j'ai davantage peur de cette épreuve (la vue du feu surement) que mal à l'endurer.

La suite a été un peu confuse pour moi, je n'ai pas su dicerner correctement ce qui m'était réservé. De toute évidence Mes Maitres ont partagé ensemble un moment de plaisir non loin de moi, ce n'est qu'après coup, à réception de cette photo, que j'ai appris que des crachats et du sperme avait été déversés sur mon dos, dans le but de me souiller. Cette nouvelle m'a terriblement troublé.



J'ai finalement été conduit, toujours les yeux bandés dans la salle de bain, installé dans la baignoire. A ce moment là j'ai imaginé qu'on allait m'uriner dessus. J'ai eu cette impression, à tort finalement car au contraire il m'a été demandé de me laver puis de me rhabiller avant de devoir partir.

J'ai eu ce sentiment d'avoir été jeté dehors, à 00h30, sans un mot, j'ai pensé sur le coup avoir peut etre déçu dans mon comportement.

Il n'a pas été évident de relater cette première rencontre, j'ai dû synthétiser au maximum, sinon il aurait fallu que je retranscrive minute par minute cette soirée tellement chaque instant avait été fort pour moi.

Je n'ai principalement décris que les actes subis, très peu sur mes impressions et mon sentiment suite à ce premier contact réel avec Maitresse Hakane et Maitre Yvan, l'heure du débriefing est maintenant arrivée...
Par chienne sara
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Madame Helena

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